entraînement
Oh punaise...
Aujourd'hui, las de chercher des plus petits communs multiples, de confronter des textes polémiques sur l'apprentissage de l'oral au primaire, de m'aventurer, sans complexe, dans le fonctionnement complexe de la reproduction sexuée, las tout simplement de contempler les jolis carreaux de mon appartement (cf. épisodes précédents), j'ai enfilé mes baskets pour aller faire de la course, échappant pour la bonne cause à la corvée des courses.
Je me suis échauffé, tout bien comme il faut (j'anticipe les critiques constructives de Nyny^^), et je me suis chronométré sur la distance reine de l'athlétisme, le 1500 mètres. Je dis épreuve reine car c'est celle sur laquelle on nous demande d'exceller le jour J, mais à la télé, je préfère le 100 mètres, parce que les gars sont hyper musclés, qu'on sait d'avance qu'ils sont dopés et qu'ils nous font découvrir des contrées pas banales : Bermudes, Jamaïque, Trinidad et même Tobago.
Bon, ben j'ai fait ce qu'on appelle un temps de tortue, alors qu'il faisait un temps de chien. (Nan ça c'est juste pour rire car il faisait un temps superbe, un ciel de Bermudes, de Jamaïque, de Trinidad et même de Tobago).
Un bon gros temps de m... Alors j'ai plusieurs solutions : changer de sexe et donc de barème (ben quoi, y'a des précédents en athlé) , me doper, ou bien bosser comme un âne pour viser des performances d'étalon. En athlé, s'entend.
J'ai potassé mon ouvrage de prépa au 1500 m du cned. Ils sont forts au cned : même le bouquin d'eps est bavard, confus. C'est sympa, un bel exemple de transversalité des disciplines puisqu'il est recommandé d'établir un subtil décompte de ses performances sur 100, 200, 500 mètres et compter, faire des fractions en plein 1500m avec des vitesses maximales d'aérobie ou je ne sais quoi.
Bon, j'y retourne la semaine prochaine. Parce que c'est quand même bien défoulant de courir.